Paddang amorce une nouvelle mutation avec “Lost in Lizardland”, un deuxième album écrit comme un Road movie SF post-apocalyptique.
Osees et King Crimson à fond dans lʼautoradio, le trio toulousain file à toute berzingue dans une épopée cosmique aux airs de prophétie herbertienne.
Loin de se cacher derrière un mur de fuzz ou une montagne de reverb, les trois voix dictent le ton et invoquent un besoin urgent d’agir face à un monde au bord du chaos.
Fort de deux années passées à sillonner les clubs et les festivals, Paddang bouillonne à l’idée de replonger dans la fournaise du live pour partager sa fièvre primitive avec le public.